Attaque à la préfecture de police : le fait d’un « radicalisé » ?!
Le 3 octobre dernier un agent de la DR-PP (Direction du Renseignement de la Préfecture de Police de Paris) s’est attaqué à ses collègues, en tuant quatre avant d’être lui-même abattu. Les activités de cet agent lui valaient l’habilitation « secret-défense » …
On reste stupéfait devant l’aveuglement des responsables d’un service fait pour « prévenir le terrorisme » ! Christophe Castaner, le ministre de l’intérieur, a estimé qu’il s’agissait :
d’un « dysfonctionnement d’État », plus que d’un « scandale d’État ».
En vérité, et contrairement à cette déclaration, cet événement dramatique met en lumière les conséquences désastreuses de la volonté (de tout le système politique et médiatique) de ne jamais vouloir mettre en cause l’islam, comme s’il s’agissait d’une religion comme les autres. Ainsi, Franceinfo titrait :
« Attaque à la préfecture de police de Paris : Mickaël Harpon, un agent radicalisé… ».
Les journalistes évitent tant qu’ils le peuvent de mettre en cause l’islam : en bon français on peut être dit radicalisé par rapport à n’importe quelle idéologie politique ou religieuse, mais personne ne craint des attentats catholiques ou bouddhistes !
Répétons que les islamistes nous font la guerre : pour la gagner, il faut commencer par désigner l’ennemi : c’est L’ISLAM RADICAL, dont les racines se trouvent dans le Coran.