Réparti en 21 thèmes, présenté sous la forme de 562 propositions, découvrez le programme détaillé du MNR qui s’affirme ainsi comme un mouvement constructif apte à gouverner et porteur de solutions concrètes pour assurer l’avenir de la France et résoudre les problèmes de nos compatriotes.
Valeurs (n° 1 à 19)
Le retour des traditions
001. Promouvoir les valeurs de notre civilisation telles que forgées par nos origines helléniques, romaines et chrétiennes.
002. Accorder toute leur place à nos traditions, indispensables au maintien de notre identité et de nos valeurs.
003. En finir avec la repentance permanente, les entreprises de culpabilisation et d’autoflagellation de notre peuple à propos de son passé.
004. Donner aux Français la fierté de leur histoire, de leur valeurs et plus globalement de leur identité.
005. Développer le patriotisme sans lequel il n’y a pas de communauté nationale ni aucune des valeurs qui fondent sa civilisation.
006. Valoriser les réussites de notre nation pour rompre avec l’esprit de dénigrement et la haine de soi qui prévalent actuellement.
007. Soutenir les familles françaises car c’est d’abord au sein de la famille que les jeunes générations font l’apprentissage de nos valeurs.
L’impératif du sacré
008. Donner sa place au sacré, lequel est nécessaire aux hommes et à l’équilibre des communautés qu’ils constituent.
009. Valoriser les convictions spirituelles des français car un peuple ne traverse les siècles que s’il est porté par un souffle spirituel.
010. Rendre son prestige au pouvoir politique qui incarne le peuple français et qui est en charge de sa souveraineté et de son destin.
011. Reconnaître le christianisme comme une composante essentielle de notre identité car, en mille cinq cents ans, il a largement contribué à façonner notre pays.
012. Prendre en compte les cultures qui, depuis nos origines, ont affirmé le sens du sacré, qu’elles soient grecques, latines ou celtiques.
013. Défendre la vie en inscrivant dans la constitution le principe du respect de la vie de la conception à la mort naturelle.
L’exigence morale
014. Bannir la corruption par la promotion d’une nouvelle élite d’élus retrouvant la vocation première du politique, à savoir le service du peuple et la recherche du bien commun.
015. Instaurer des cours de morale à l’école pour donner à chacun les bases nécessaires au développement d’une vie civique et sociale harmonieuse.
016. Lutter plus efficacement contre la délinquance et la criminalité qui sapent les fondements mêmes de notre société.
017. Combattre les expressions publiques de la pornographie et de la violence.
018. Récompenser le mérite, le talent, les exploits et le dépassement de soi dans tous les domaines de l’activité nationale.
019. Valoriser la notion de devoir corrélative à celle de droit en rappelant que, dans toutes les strates de la société, les droits ne sauraient exister sans les devoirs.
Culture (n° 20 à 43)
Défendre la culture européenne
020. Combattre la pression culturelle américaine qui utilise les moyens de la commercialisation de masse pour s’imposer en Europe.
021. Étendre l’exception culturelle à tous les domaines artistiques et obtenir qu’elle soit pratiquée à l’échelle de l’Europe.
022. Organiser la coopération culturelle européenne de façon à multiplier les productions, notamment cinématographiques, valorisant la culture et la civilisation européenne et capables de concurrencer commercialement les produits américains.
023. Donner la priorité à la culture française et européenne dans les médias.
Libérer l’art du politiquement correct
024. Garantir la liberté de création artistique indispensable à l’épanouissement de la culture.
025. Lutter contre le conformisme culturel officiel qui bafoue tout à la fois nos traditions artistiques enracinées et le goût du public.
026. Soustraire l’expression culturelle à la tutelle de l’État car celle-ci entraîne nécessairement l’uniformisation, voire le nivellement.
027. Imaginer de nouvelles formes de mécénat public pour rompre avec les coteries politico-artistiques nuisibles à la création culturelle.
028. Rendre au public son pouvoir d’appréciation des œuvres d’art et des artistes en le libérant des modes culturelles imposées par quelques critiques « bien-pensants ».
Favoriser la renaissance culturelle
029. Développer l’enseignement de l’art et l’initiation aux techniques artistiques en leur donnant une place accrue dans les cycles primaire et secondaire.
030. Encourager les études artistiques de haut niveau renouant avec les techniques classiques et les règles de l’art.
031. Multiplier les expositions, les concours et les prix artistiques pour développer par l’émulation le goût de l’excellence dans la culture.
032. Faciliter l’accès d’un large public à la culture de façon à réconcilier l’art et le peuple.
033. Favoriser le mécénat par de nouvelles incitations fiscales, notamment en faveur des fondations privées.
Sauver la langue française
034. Créer un organisme opérationnel chargé de la langue française capable de défendre et de promouvoir notre langue par les moyens de la réglementation mais aussi par les techniques modernes de communication.
035. Combattre l’usage des mots étrangers dans les médias, les organismes publics et la publicité.
036. Promouvoir les traductions françaises de locutions étrangères, au besoin par des campagnes publicitaires adaptées.
037. Valoriser l’enseignement du français à l’école pour permettre aux jeunes Français de parler et d’écrire correctement leur langue.
038. Assurer le rayonnement de la langue française à l’étranger en encourageant son enseignement et la diffusion des publications françaises.
039. Mobiliser la communauté francophone pour développer le français en renforçant notamment ses structures et ses moyens d’action.
Défendre le patrimoine national
040. Améliorer la conservation du patrimoine afin de le transmettre intact aux générations futures.
041. Protéger les cultures et les traditions provinciales de façon à préserver la diversité d’expression de la culture française.
042. Valoriser les musées comme lieux privilégiés de diffusion de la culture auprès du public.
043. Rénover tous les bâtiments historiques afin de préserver dans son intégralité l’expression la plus visible de notre patrimoine national.
École (n° 44 à 86)
La liberté pour l’école
044. Centrer l’école sur sa mission d’instruction et de transmission du savoir, l’éducation proprement dite devant rester l’apanage des familles.
045. Assurer aux parents le libre choix de l’éducation de leurs enfants car c’est à eux et non à l’État que revient cette responsabilité essentielle.
046. Rompre avec le pédagogisme qui transforme les enseignants en animateurs et prive les élèves des connaissances et de la formation qu’ils doivent recevoir.
047. Donner plus d’autonomie aux établissements scolaires afin qu’étant responsables de leurs résultats, ils soient encouragés à faire toujours mieux.
048. Abandonner la carte scolaire qui entrave le libre choix de l’établissement par les parents.
049. Introduire entre les écoles une saine émulation qui pousse à l’amélioration de la qualité des enseignements.
050. Instaurer le chèque scolaire pour financer l’école privée sans discrimination par rapport à l’école publique.
051. Abroger la loi Falloux afin de pouvoir subventionner les établissements du privé comme ceux du public.
052. Supprimer les zones d’éducation prioritaires qui sont contraires au principe d’unité de la République et qui n’ont pas fait la preuve de leur efficacité.
Une scolarité pour chacun
053. Abolir le collège unique qui pénalise les meilleurs sans éviter pour autant l’échec scolaire.
054. Délaisser l’objectif démagogique des 80 p. cent de bacheliers par classe d’âge qui conduit à la dévalorisation du baccalauréat.
055. Diversifier les cursus secondaires de sorte que chacun puisse suivre une voie correspondant à ses goûts et à ses capacités.
056. Créer des classes de fin d’études primaires afin de mettre à niveau les élèves ne possédant pas les savoirs fondamentaux.
057. Développer les filières d’enseignement professionnel en offrant aux élèves la possibilité d’y accéder à la fin des études primaires comme à la sortie du collège.
058. Instaurer les études professionnelles en alternance pour que cette filière bénéficie du prestige et de l’attrait que méritent les métiers manuels.
059. Doter les apprentis d’un statut scolaire dans le cadre des études en alternance afin qu’ils bénéficient de cours de formation générale et ne se trouvent pas rejetés du système scolaire.
060. Sanctionner chaque sortie de cycle par un diplôme, certificat, brevet ou baccalauréat pour que tous les élèves, quel que soit leur niveau, puissent être pourvus d’un titre scolaire.
L’école du savoir
061. Fixer pour objectif à l’école primaire d’apprendre à lire, écrire et compter, objectif qui, bien qu’essentiel, n’est plus atteint aujourd’hui par tous les élèves.
062. Assigner à l’enseignement secondaire la mission de transmettre des savoirs et de former l’intelligence, mission indispensable pour préparer les cadres de notre pays.
063. Mettre à l’honneur le goût de l’effort à l’école sans lequel il n’y a pas d’apprentissage possible.
064. Multiplier les notations, classements et prix afin de récompenser l’effort et le talent.
065. Asseoir l’orientation scolaire sur les capacités réelles des élèves et sur les résultats qu’ils obtiennent selon des critères objectifs de sélection.
066. Valoriser l’instruction morale et civique en la débarrassant des lubies idéologiques qui en font aujourd’hui un moyen d’endoctrinement.
067. Permettre une pratique continue du sport de la maternelle à l’université en application du précepte « un esprit sain dans un corps sain ».
L’école de la nation
068. Garantir la neutralité de l’enseignement public car l’école doit être un lieu de transmission du savoir et non d’embrigadement idéologique.
069. Refuser tout signe religieux ostentatoire au sein de l’école d’État, qu’il soit vestimentaire, alimentaire ou d’ordre éducatif, conformément au principe républicain de laïcité de l’école publique.
070. Limiter le nombre d’immigrés par classe pour que les élèves français ne soient pas pénalisés dans leurs études et qu’ils soient instruits dans un environnement conforme à leur civilisation.
071. Donner à l’école une mission de transmission de notre héritage culturel de façon à réenraciner les jeunes Français dans leur identité.
072. Mettre à l’honneur l’enseignement de l’histoire, de la géographie, de la littérature et des arts, principales disciplines par lesquelles les élèves peuvent s’imprégner de la culture française.
L’excellence pour les universités
073. Accorder aux universités une réelle autonomie garante de la qualité des enseignements et de l’amélioration permanente du niveau d’études.
074. Autoriser les universités à recruter les étudiants en fonction de leurs capacités afin d’éviter leur sélection par la file d’attente ou le piston et d’empêcher leur échec massif au cours du premier cycle universitaire.
075. Mieux associer l’entreprise à l’université pour améliorer la synergie entre le monde du savoir et celui de l’économie.
076. Conforter les grandes écoles et leurs classes préparatoires afin de garantir l’excellence du système d’études supérieures français.
077. Centrer le CNRS sur sa vocation originelle de gestion et d’exploitation des grands équipements de recherche.
078. Assouplir le fonctionnement des petites unités de recherche par une plus grande autonomie et par la création de liens nouveaux avec l’université et le monde économique.
Soutien aux professeurs
079. Améliorer la condition matérielle des professeurs dont l’utilité pour la communauté nationale doit être reconnue.
080. Aider les enseignants à retrouver leur prestige, fondé sur le respect dû à ceux qui savent par ceux qui apprennent.
081. Confier à l’université la formation des professeurs en supprimant les Instituts universitaires de formation des maîtres.
082. Dissoudre l’Institut national de recherche pédagogique, responsable de nombreuses dérives pédagogiques de nature idéologique.
Sécurité à l’école
083. Pratiquer la tolérance zéro dans les établissements scolaires, seule méthode pour y ramener la sécurité.
084. Assurer l’autorité des enseignants en veillant à ce qu’ils soient soutenus par leur hiérarchie et que ceux qui leur manquent de respect soient sanctionnés.
085. Faire respecter les règles de discipline à l’école au moyen de sanctions à l’encontre de ceux qui les enfreignent.
086. Expulser les élèves fauteurs de troubles en les regroupant dans des établissements spécialisés.
Environnement (n° 87 à 132)
Défendre l’environnement
087. Responsabiliser les pollueurs par une réglementation généralisant le principe « pollueurs payeurs ».
088. Favoriser les investissements utiles à l’environnement pour accélérer la mise en place des procédés non polluants.
089. Encourager la recherche écologique afin de multiplier les innovations susceptibles de résoudre les problèmes de pollution.
090. Créer un corps de protection de l’environnement chargé de constater et de réprimer les infractions à la législation sur l’environnement.
091. Instituer un corps de garde-côtes puissamment doté pour contrôler effectivement les bateaux naviguant dans nos eaux territoriales.
Lutter contre les pollutions
092. Introduire l’impératif écologique dans la conception des produits afin de faire disparaître à la source les causes de pollution.
093. Définir un plan pour respecter les objectifs du protocole de Kyoto, s’agissant des rejets de gaz à effets de serre.
094. Traiter les sources de pollution industrielle en mobilisant tous les moyens techniques de lutte contre les rejets de gaz à effets de serre ainsi que les rejets liquides.
095. Encourager la fabrication de véhicules propres par des mesures financières incitatives auprès des constructeurs automobiles.
096. Développer les biocarburants, diester et éthanol.
097. Favoriser le ferroutage qui réduit la circulation des camions en assurant leur transport longue distance sur des trains spécialement aménagés.
098. Confirmer le choix de la filière électronucléaire qui est à la fois plus propre et plus économique que les autres moyens de production électrique de masse générateurs de gaz à effets de serre.
099. Accélérer la recherche sur la fusion nucléaire contrôlée qui fournira une énergie propre et inépuisable.
100. Déployer massivement les moyens complémentaires de production d’énergie : éolien, solaire, biomasse, pile à combustible, etc.
101. Généraliser les stations d’épuration pour que nos cours d’eau retrouvent leur pureté.
102. Privilégier les cultures de qualité sur les cultures intensives de façon à limiter les besoins en eau et l’utilisation des nitrates.
103. Développer le tri sélectif des ordures et le recyclage des déchets afin de limiter les pollutions et les gaspillages de matières premières.
104. Privilégier la transformation des déchets par pyrolyse ou thermolyse afin de réduire le recours à l’incinération beaucoup plus polluante.
105. Œuvrer à la baisse des nuisances sonores, notamment pour les machines industrielles et les véhicules de transport, par des règlements et des incitations financières.Multiplier les protections phoniques le long des voies routières ou ferrées.
Sauvegarder le patrimoine naturel
106. Reconstruire les paysages traditionnels par la reconstitution chaque fois que possible des haies, rideaux d’arbres et mares.
107. Embellir les paysages naturels en réhabilitant les zones de friches industrielles, de tourisme de masse ou d’activités commerciales.
108. Enfouir les cables Telecom et EDF (basse et moyenne tension) afin d’embellir le paysage et d’assurer une meilleure sécurité des réseaux.
109. Aider les activités agro-pastorales qui participent à l’entretien du paysage.
110. Développer la politique des parcs naturels indispensables à l’équilibre de notre territoire.
111. Lutter contre les inondations en limitant l’imperméabilisation des sols, le déboisement, la jachère et en construisant les ouvrages hydrauliques nécessaires.
112. Combattre les incendies de forêt par une surveillance accrue du parc forestier et en renforçant les moyens alloués aux professionnels du feu.
Valoriser les territoires côtiers, forestiers et montagnards
113. Étendre les massifs forestiers en encourageant les plantations ou replantations en essences indigènes adaptées à nos terroirs.
114. Mieux gérer les forêts notamment par le renforcement de l’Office national des forêts, la création d’un Fonds forestier national et une meilleure coordination entre propriétaires privés et administration.
115. Encourager la filière bois en favorisant l’utilisation du bois, du papier et du carton, notamment dans les emballages et la construction.
116. Renforcer la protection du littoral contre les débordements immobiliers en étendant les zones protégées et en augmentant les acquisitions de terrain par le Conservatoire du littoral.
117. Protéger les côtes des pollutions marines en renforçant la réglementation sur la navigation côtière, en développant les moyens de contrôle et en dotant notre pays de puissants moyens de prévention et de nettoyage.
118. Désenclaver les pays de montagne dans le respect de l’environnement afin d’y maintenir activités et population.
119. Soutenir l’agriculture de montagne indispensable à la pérennité de l’économie locale et au maintien des équilibres écologiques.
Embellir nos villes et nos villages
120. Veiller à l’équilibre du territoire en luttant contre la désertification rurale.
121. Favoriser les villes moyennes, plus adaptées que les mégapoles au développement d’une vraie qualité de vie.
122. Empêcher l’extension anarchique des constructions qui « mitent » et détruisent la qualité des paysages.
123. Réhabiliter les zones urbaines sinistrées grâce à une action de reconquête mettant en jeu les politiques d’immigration, de sécurité et d’urbanisme.
124. Assurer le bon entretien du patrimoine bâti, essentiel à l’harmonie des villes et des villages.
125. Encourager une architecture douce et enracinée par l’adoption de chartes d’urbanisme privilégiant les dimensions, les formes et les matériaux en harmonie avec l’environnement.
126. Embellir les entrées de ville en réglementant en qualité et en quantité les constructions de grandes surfaces ainsi que l’implantation des panneaux publicitaires.
127. Développer les jardins et parcs publics dans les agglomérations pour offrir à toutes les villes de véritables « poumons verts ».
Protéger le monde vivant
128. Éviter les expériences sur les animaux en imposant chaque fois que cela est possible des méthodes de substitution.
129. Mieux secourir les animaux domestiques abandonnés en rénovant ou en créant des refuges correctement aménagés.
130. Renforcer la répression contre les tortionnaires d’animaux qui contreviennent à nos règles éthiques.
131. Imposer des conditions d’abattage décentes conformes aux normes d’hygiène et aux valeurs de notre civilisation occidentale.
132. Mieux protéger les espèces sauvages qui font la richesse de notre faune et participent à l’équilibre écologique.
Immigration (n° 133 à 172)
Arrêter toute nouvelle immigration
133. Arrêter toute nouvelle immigration en décretant un moratoire sur l’immigration pour pouvoir résoudre le problème déjà existant.
134. Rétablir les frontières et renforcer les contrôles de façon à empêcher l’entrée des immigrés clandestins.
135. Créer un corps spécialisé dans la surveillance des frontières et le contrôle de l’immigration.
136. Mettre un terme au regroupement familial en France et en inverser le sens en direction des pays d’origine.
137. Limiter strictement la délivrance des visas pour empêcher l’immigration clandestine sous forme de faux tourisme en recourant, si besoin est, au versement d’une caution perçue à l’entrée en France et restituée à la sortie.
138. Redonner son sens au droit d’asile en le réservant strictement aux personnes persécutées du fait de leur engagement politique.
139. Assortir les inscriptions universitaires d’un engagement de retour au pays pour tout ressortissant des pays d’émigration souhaitant poursuivre des études en France.
Supprimer les incitations à l’immigration
140. Réserver les allocations familiales aux familles françaises et européennes afin de soutenir la natalité insuffisante des Français et des Européens.
141. Ne pas verser toutes les aides sociales aux étrangers non européens car l’État est responsable de ses propres citoyens et non de la planète entière.
142. Assurer aux Français et aux Européens la priorité d’accès aux logements sociaux qui, du fait des critères de sélection, sont actuellement attribués majoritairement aux étrangers.
143. Instaurer la préférence nationale et européenne à l’embauche car, à compétence égale, il est juste que les Français et les Européens soient prioritaires dans leur propre pays.
144. Réprimer le travail clandestin en sanctionnant très lourdement les entreprises qui recourent à cette main-d’œuvre illégale.
Défendre notre identité
145. Réformer le code de la nationalité pour le refonder sur le principe de la filiation conformément au principe « être français cela s’hérite ou se mérite ».
146. Abroger le droit du sol qui conduit à offrir automatiquement la nationalité française à toute personne née sur le sol national.
147. Établir la naturalisation comme seule procédure d’acquisition de la nationalité française et soumettre celle-ci à des critères stricts d’assimilation.
148. Instaurer la prestation de serment pour les naturalisés afin de s’assurer de leur sentiment patriotique et de conférer une certaine solennité à leur entrée dans la communauté nationale.
149. Rendre impossible la double nationalité car, comme tout amour, celui de la patrie est exclusif.
150. Mettre fin aux mariages de convenance en étendant les pouvoirs d’investigation du maire et en réprimant cette pratique avec une plus grande sévérité.
Refuser l’islamisation de la France
151. Refuser le processus d’islamisation de notre société, engagé par certains islamistes qui cherchent à adapter la société française au Coran.
152. Faire respecter le principe de laïcité dans tous les services publics.
153. Refuser la construction de mosquées monumentales dont l’architecture est en rupture avec celle de notre civilisation.
154. Interdire le port du tchador à l’école publique et tous les signes religieux ostentatoires conformément au principe républicain de laïcité.
155. Ignorer les interdits alimentaires dans les cantines car ce sont les étrangers qui doivent s’adapter aux traditions françaises et non l’inverse.
156. Maintenir le caractère européen et chrétien de notre civilisation. On ne peut pas mettre sur le même plan le christianisme qui a façonné notre pays depuis quinze siècles et l’islam qui est présent sur notre sol depuis quelques décennies.
Organiser le retour des immigrés indésirables
157. Supprimer les prestations d’assistance financière aux clandestins comme l’Aide médicale d’Etat.
158. Se doter des moyens légaux et logistiques pour permettre l’expulsion effective de tous les clandestins.
159. Procéder à l’expulsion immédiate des clandestins pour éviter que des situations de fait ne se créent qui provoquent ensuite des drames humains.
160. Bannir les délinquants et criminels étrangers à l’expiration de leur peine.
161. Appliquer la loi permettant de déchoir de leur nationalité les Français de fraîche date qui ont commis des crimes ou des délits.
162. Organiser le rapatriement des chômeurs étrangers en fin de droit ainsi que celui des étrangers sans ressources légales.
163. Verser les retraites dues aux étrangers dans leur pays d’origine afin de faciliter leur retour chez eux.
Assimiler les immigrés francophiles
164. Remplacer la carte de séjour de dix ans par une carte de deux ans non automatiquement renouvelable.
165. Ne pas renouveler la carte de séjour des immigrés qui ne respectent pas nos règles et nos coutumes.
166. Accepter de proroger la carte de séjour des immigrés utiles à notre pays qui respectent ses lois, ses coutumes et ses habitants.
167. Aider à l’assimilation des immigrés qui ont été acceptés comme Français et qui jouent le jeu de la France.
Codévelopper les pays d’émigration
168. Réclamer une maîtrise internationale des mouvements de population qui déstabilisent l’ensemble de la planète et devraient donc être combattus à l’échelle mondiale.
169. Signer des conventions bilatérales de retour avec les pays d’émigration pour gérer avec eux le retour sur leur sol de leurs ressortissants.
170. Aider les pauvres du tiers monde chez eux par une politique de codéveloppement généreuse.
171. Favoriser la réinstallation des immigrés dans leur pays d’origine en valorisant chez eux leur savoir-faire professionnel acquis en France.
172. Ne pas appliquer cette politique d’immigration aux Européens, mais uniquement aux ressortissants des pays du tiers monde dont l’émigration massive représente un véritable danger pour notre pays.
Diplomatie (n° 173 à 194)
Pour la grandeur de la France
173. Défendre les intérêts de la France au lieu de favoriser, comme c’est le cas actuellement, les menées mondialistes.
174. Assurer l’indépendance de notre pays pour permettre à notre peuple de conserver son libre arbitre et la maîtrise de son destin.
175. Accroître la puissance de la nation, laquelle constitue dans un monde interdépendant le seul moyen pour un pays de préserver sa liberté et d’assurer sa sécurité.
176. Faire de la France le porte-drapeau de la cause des peuples en organisant une contre-offensive internationale face aux entreprises mondialistes.
177. Promouvoir un nouveau concert des nations pour opposer au nouvel ordre mondial une autre organisation du monde fondée sur l’identité des peuples, la souveraineté des pays et le principe de non ingérence dans les affaires intérieures des États.
178. Œuvrer à la régulation des échanges commerciaux, monétaires et migratoires de façon à maîtriser la mondialisation et à éviter la déstabilisation de tous les pays.
Pour l’Europe face aux États-Unis
179. Contester le principe de la « communauté internationale » qui n’a pas d’existence réelle et qui sert à véhiculer sur la scène diplomatique les poncifs de la pensée unique.
180. Émanciper la France et l’Europe de la tutelle américaine qui soumet notre pays à une autorité étrangère et le conduit trop souvent à agir contre ses propres intérêts.
181. Faire sortir la France de l’Otan qui, depuis la disparition de l’URSS, ne sert plus qu’à soumettre les pays européens à la domination des États-Unis.
182. Construire l’Europe des nations pour assurer, dans le respect de leur souveraineté, une coopération entre les Etats capable de rendre aux peuples d’Europe leur puissance collective.
Pour la coopération avec le tiers-monde
183. Développer une politique de codéveloppement, c’est-à-dire une coopération réciproque avec le tiers monde en apportant une aide aux États qui acceptent en retour d’œuvrer à l’inversion des flux migratoires.
184. Apporter assistance aux peuples amis de la France et cesser de coopérer avec les pays hostiles car notre nation n’a pas à soutenir ceux qui refusent de l’aider.
185. Financer des programmes de coopération adaptés au retour chez eux des immigrés visant notamment à implanter dans leur pays d’origine la main-d’œuvre étrangère formée en France.
186. Œuvrer à un nouveau modèle de développement du tiers monde qui respecte l’identité et les traditions des pays concernés.
187. Assurer une présence française en Afrique noire pour éviter des catastrophes comme celles qu’ont connues le Rwanda ou la Somalie.
Pour l’influence française dans le monde
188. Développer l’amitié de la France avec les peuples de l’Est européen afin de rééquilibrer le vieux continent au bénéfice de notre pays.
189. Jeter les bases d’une nouvelle politique franco-arabe fondée sur une commune volonté d’assurer de nouveaux équilibres mondiaux.
190. Organiser la coopération franco-africaine sur la base d’un respect mutuel et d’une aide réciproque.
191. Créer dans le monde un réseau d’alliances avec les nations attachées à leur identité pour œuvrer à l’édification d’une nouvelle conception des relations internationales, respectueuse de la diversité du monde.
Europe (n° 195 à 218)
Une nouvelle Europe
195. Remettre en cause l’Europe de Bruxelles qui détruit les nations, les soumet à la mondialisation et à la bureaucratie, veut étendre l’Union jusqu’à l’Irak et l’Iran et ne défend pas ses intérêts face aux États-Unis.
196. Concevoir une nouvelle Europe qui restituerait aux États membres leur souveraineté pour ce qui est de la vie quotidienne des citoyens et qui se concentrerait sur tout ce qui peut assurer la puissance collective de l’Europe.
197. Fixer à cette nouvelle Europe l’objectif de constituer, à l’heure du choc des civilisations, dans le monde multipolaire qui est le nôtre, un pôle de puissance capable d’assurer son indépendance, de défendre son identité et de promouvoir ses intérêts.
198. Affirmer l’identité européenne de l’Union en la fondant sur la commune civilisation que partagent tous les pays européens tant par l’histoire, la géographie, le peuplement que la culture et la religion.
199. Permettre à l’Europe de jouer un rôle d’équilibre, de justice et de paix pour les peuples du monde.
Une libre coopération
200. Fonder l’Europe sur la libre coopération entre États souverains et non, comme c’est le cas actuellement, sur l’idée d’une intégration qui dissout nos peuples et nos nations.
201. Axer les compétences de l’Europe sur la prospérité économique, la sécurité militaire et l’excellence scientifique et culturelle pour rendre collectivement aux pays européens leur première place dans le monde.
202. Organiser une Europe à la carte permettant à chaque nation de choisir librement les domaines dans lesquels elle souhaite coopérer.
203. Instaurer des pactes européens de coopération sectorielle définissant les modalités de la coopération entre États, par exemple dans les secteurs économique, militaire, culturel, douanier, monétaire ou agricole.
204. Alléger les institutions de l’Union en supprimant tout ce qui n’est pas centré sur les objectifs de puissance et d’indépendance et substituer aux structures d’intégration des institutions de coopération interétatiques.
Une Europe européenne
205. Arrêter les frontières ultimes de l’Union européenne : au nord, l’océan Arctique, à l’ouest l’océan Atlantique, au sud la mer Méditerranée et, à l’est, une ligne partant de la Bulgarie pour rejoindre la Finlande et excluant l’Ukraine et la Biélorussie.
206. Renforcer les frontières entre l’Europe et le reste du monde afin que les peuples européens conservent la maîtrise des hommes et des produits qui pénètrent sur leur territoire ou à défaut rétablir les frontières entre les États membres en dénonçant les accords de Schengen.
207. Faire valoir le principe de la préférence européenne pour les produits comme pour les personnes car il est normal que les Européens bénéficient en Europe de droits spécifiques.
Une Europe puissante
208. Établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe afin de protéger le marché européen de la concurrence sauvage pratiquée par des pays qui ne respectent pas les mêmes normes sociales ou écologiques que l’Europe.
209. Mettre en œuvre une grande stratégie industrielle à l’échelle de l’Europe de façon à constituer dans chaque secteur un grand groupe capable de devenir le numéro un mondial et de promouvoir ainsi les intérêts européens dans le monde.
210. Faire de l’euro une monnaie d’échange et de réserve qui permette de vendre nos exportations et de payer nos importations en euros de façon à protéger les économies européennes des fluctuations monétaires internationales. L’euro doit servir l’Europe comme le dollar sert les États-Unis.
211. Faire de la recherche scientifique une priorité de l’Union pour que l’Europe redevienne le premier pôle de découverte, d’invention et d’innovation dans le monde.
Une Europe indépendante
212. Libérer l’Europe de la tutelle politique des États-Unis et sortir à cette fin de l’Otan qui n’a plus aucune justification militaire.
213. Créer une Alliance militaire européenne, sorte d’Otan strictement européen, assurant la coordination des armées nationales et destinée à constituer à terme une force armée équivalente à celle des États-Unis. 214. Organiser la coopération des armées nationales, en mettant en commun la fabrication des armements, en standardisant les équipements et en assurant des commandements et procédures communs.
La France moteur de l’Europe puissance
215. Faire de la France le promoteur d’une nouvelle Europe puissante et indépendante.
216. S’opposer aux pratiques bruxelloises les plus en contradiction avec le projet d’une Europe puissance.
217. Multiplier les initiatives de coopération contournant le pouvoir bruxellois et développant des projets propres à assurer la puissance et l’indépendance collective de l’Europe.
218. Créer autour de la France et, si possible de l’Allemagne, un noyau dur de nations solidaires capables d’entraîner l’Union dans la voie d’une Europe européenne, indépendante et puissante.
Défense (n° 219 à 241)
La prise en compte des menaces
219. Prendre en compte les menaces potentielles, notamment en provenance du Sud.
220. Se prémunir contre les menaces intérieures liées aux populations étrangères installées sur notre sol.
221. Se protéger de la volonté hégémonique des Américains en se libérant de la tutelle des États-Unis.
222. Sortir de l’Otan afin que nos forces armées ne soient plus engagées qu’au service exclusif des intérêts de la France ou de l’Europe.
223. Créer une Alliance militaire européenne pour constituer par la coopération entre les armées nationales une force militaire de premier plan qui puisse à terme devenir l’équivalent de l’armée américaine.
La force d’intervention
224. Constituer une force armée d’intervention polyvalente puissament équipée en hélicoptères, missiles et blindés, et capable d’intervenir rapidement et efficacement pour protéger les intérêts français partout dans le monde.
225. Renforcer l’armée de l’air en la dotant des appareils indispensables à toute opération militaire d’envergure.
226. Équiper les armées des moyens aériens et maritimes de transport modernes à grande capacité et long rayon d’action de façon à ne plus voir notre capacité de projection extérieure dépendre des États-Unis.
227. Doter la marine des deux porte-avions nécessaires à la protection de nos intérêts partout où ils peuvent être menacés.
228. Développer des armes à neutron miniaturisées pour pouvoir le cas échéant compenser par la puissance l’infériorité numérique de nos armées.
La protection du territoire
229. Mettre à niveau les forces nucléaires stratégiques de dissuasion qui restent le meilleur garant de notre sécurité et de notre statut de puissance mondiale.
230. Édifier les réseaux de satellites nécessaires à la défense de la France par une coopération européenne appropriée.
231. Construire à l’échelle de l’Europe une défense anti-missiles d’autant plus indispensable à la protection de notre territoire qu’aucun traité international n’a pu empêcher la dissémination nucléaire.
232. Instituer une garde nationale formée de volontaires et de réservistes afin d’assurer la sécurité de la population et du territoire français.
233. Créer un corps de défense des frontières et de contrôle des populations étrangères pour faire face aux dangers liés au phénomène migratoire.
Le soutien aux armées
234. Rattraper le retard pris dans l’équipement des armées, notamment par rapport aux dernières lois de programmation militaire qui avaient pourtant défini des programmes minimums.
235. Augmenter le budget de la Défense jusqu’à 3% du PIB afin de doter la France d’une armée crédible indispensable pour assurer son indépendance et lui permettre d’être respectée dans le monde.
236. Restructurer les entreprises nationales d’armement en liaison avec nos partenaires européens, afin de garantir l’indépendance collective de notre système de défense et notre maîtrise des technologies militaires de pointe.
237. Renforcer les services de renseignements et les doter des moyens de haute technologie comparables aux systèmes anglo-saxons.
238. Développer l’esprit de défense notamment en faisant à l’école la promotion des valeurs de patriotisme, de courage et de service.
239. Donner à l’armée la considération qui lui est due au regard de l’éminente mission de protection qui est la sienne.
240. Valoriser le statut des militaires de carrière afin d’améliorer leurs conditions matérielles et de leur rendre le prestige auquel ils ont droit.
241. Honorer les anciens combattants en raison des sacrifices qu’ils ont consentis pour la nation et leur accorder un surcroît de considération.
Sécurité (n° 242 à 272)
Permettre le retour à l’ordre
242. Enseigner la morale traditionnelle dans les écoles pour inculquer aux enfants les règles élémentaires de la vie en société.
243. Encourager les familles dans leur rôle éducatif afin de limiter le développement de la délinquance juvénile, source de la grande délinquance et de la criminalité.
244. Bannir les délinquants et criminels étrangers et leur interdire définitivement l’accès au territoire national pour éviter toute récidive.
245. Expulser les immigrés clandestins qui, de par leur statut d’illégaux, sont plus que d’autres portés à la délinquance.
246. Maitriser les flux migratoires, car l’arrivée massive de populations déracinées et incontrolées constitue une cause majeure de l’insécurité.
247. Déchoir de leur nationalité française les délinquants l’ayant récemment acquise et qui ont démontré par leur comportement qu’ils ne la méritaient pas.
248. Refuser aux délinquants étrangers tout accès à la nationalité française car notre pays n’a pas à octroyer sa citoyenneté à des fauteurs de troubles, a fortiori à des criminels.
249. Réhabiliter la notion de légitime défense pour permettre aux honnêtes citoyens de résister à leurs agresseurs.
250. Assouplir les règles d’acquisition et de détention des armes faute de quoi les délinquants et les criminels sont les seuls à en posséder.
Renforcer la police
251. Augmenter les effectifs de policiers de façon à assurer avec efficacité la dissuasion et la répression des délinquants.
252. Développer les moyens de la police afin qu’elle puisse jouer son rôle dans les meilleures conditions.
253. Améliorer la formation des policiers pour faire de la police un véritable corps d’élite efficace et respecté.
254. Valoriser la fonction de policier par une reconnaissance matérielle et morale à la hauteur de l’importance et de la difficulté de sa mission.
255. Assurer les forces de l’ordre du soutien de la nation, du gouvernement et de la hiérarchie dans l’exercice de leur mission au service du bien commun.
256. Décharger la police des tâches administratives de façon à assurer une présence accrue des agents sur le terrain.
257. Revoir la législation afin de faciliter la tâche de la police dans ses enquêtes, ses interventions ou ses contrôles.
258. Renforcer les compétences des polices municipales pour leur permettre d’agir efficacement dans la lutte contre l’insécurité.
Pratiquer la tolérance zéro
259. Punir tous les méfaits, même mineurs, comme les insultes, les graffiti et le vandalisme, délits qui constituent souvent les premiers pas sur le chemin de la grande délinquance.
260. Sanctionner lourdement les délinquants multirécidivistes qui, dans chaque quartier, sont responsables de la majorités des délits et qui doivent donc être durablement écartés de la vie sociale.
261. Retirer les allocations familiales aux parents de mineurs délinquants de façon à responsabiliser les familles quant à la conduite de leurs enfants.
262. Infliger aux mineurs délinquants des peines au sein d’établissements spécialisés où ils puissent retrouver le sens des valeurs.
263. Imposer l’ordre et la discipline dans les établissements scolaires en rétablissant les sanctions et en écartant tous les élèves délinquants.
264. Regrouper les élèves perturbateurs dans des écoles spécialisées propres à leur dispenser une instruction adaptée.
265. Renforcer les moyens de la sécurité dans les trains et les autobus afin de rendre aux Français une véritable liberté de circulation.
Combattre le crime
266. Soumettre à la loi les zones de non-droit car il est intolérable que l’État abandonne des populations entières à la loi des gangs.
267. Renforcer et réorganiser les services de l’Etat afin de mener efficacement la guerre contre le terrorisme.
268. Intensifier la lutte contre le trafic de drogue qui entraîne des dizaines de milliers de personnes dans la spirale de la déchéance.
269. Renforcer la répression de la pédophilie en augmentant considérablement les moyens policiers affectés à ce type de criminalité.
Assurer la protection civile
270. Créer un véritable corps de sécurité civile doté de personnels nombreux, équipés, encadrés, formés et identifiés, capables de faire face à toutes les catastrophes naturelles ou accidentelles.
271. Accorder aux pompiers le statut qu’ils méritent sur le plan matériel et moral en reconnaissance des tâches exceptionnelles qu’ils accomplissent au service des Français.
272. Mettre en place les installations et les plans d’action nécessaires pour protéger la population face aux dangers militaires, écologiques et naturels.
Justice (n° 273 à 298)
Rendre sa légitimité à la justice
273. Doter les tribunaux des moyens nécessaires pour permettre aux juges d’accomplir leur mission dans les meilleures conditions.
274. Augmenter les effectifs de la magistrature de façon à résorber l’engorgement des cours de justice et à réduire les délais de jugement.
275. Réduire les débouchés de l’école de la magistrature et ouvrir des postes de magistrat à des fonctionnaires ou à des professionnels du droit en cours de carrière.
276. Mettre en place un système de responsabilisation des juges qui permette de les mettre en cause lorsqu’ils commettent une erreur grave entraînant un préjudice à des personnes.
277. Subordonner les procureurs de la République au pouvoir exécutif car c’est le gouvernement, responsable devant la nation, qui doit rester en charge de la politique pénale.
278. Imposer aux magistrats une obligation de réserve vis à vis de la presse car la justice doit être rendue sereinement dans les tribunaux et non dans les colonnes des journaux.
279. Proscrire la syndicalisation de la magistrature qui est incompatible avec la nécessaire indépendance des juges.
280. Empêcher toute dérive vers un gouvernement des juges car les magistrats ne doivent pas devenir des arbitres universels tranchant de tout à la place des autorités légitimes.
281. Placer la jurisprudence sous la surveillance du pouvoir législatif en faisant voter des lois propres à recentrer les décisions de justice conformément à la volonté du peuple.
Organiser la répression des criminels
282. Assurer la nécessaire répression des crimes et délits qui a été progressivement abandonnée au profit de la seule prévention.
283. Appliquer le principe pénal de la dissuasion pour obtenir une diminution de la délinquance et de la criminalité.
284. Garantir la certitude de la sanction pour susciter la peur chez les délinquants et les criminels en puissance et les dissuader ainsi de commettre un méfait.
285. Adopter une échelle des peines plus répressive propre à renforcer l’effet dissuasif des sanctions sur les délinquants et criminels potentiels.
286. Soumettre à référendum le rétablissement de la peine de mort afin de laisser le peuple seul juge de l’instauration de cette peine conçue comme clef de voûte du système pénal.
287. Resserrer la marge d’appréciation des juges dans la fixation des peines afin d’éviter une trop grande disparité des sanctions selon les magistrats et les tribunaux.
288. Réduire les délais de justice car l’efficacité dissuasive des peines dépend de la rapidité avec laquelle les jugements suivent l’exécution du forfait.
289. Simplifier la procédure pénale car, aujourd« hui trop complexe, elle pénalise les honnêtes gens et favorise les aigrefins qui ont les moyens d’utiliser à leur profit les arcanes du système.
290. Créer, à proximité des zones sensibles, de nouvelles cours correctionnelles composées de magistrats professionnels ayant l’expérience du terrain (anciens policiers, gendarmes ou cadres de sécurité).
291. Privilégier la répression de la petite et moyenne délinquance, la plus traumatisante pour la majorité des Français et pourtant aujourd’hui largement impunie.
292. Limiter les réductions de peine qui dévalorisent les décisions de justice et en amoindrissent l’efficacité.
Assurer l’exécution des peines
293. Valoriser le statut des surveillants de prison qui effectuent une tâche essentielle et délicate au service de la communauté nationale.
294. Mieux séparer les différentes catégories de détenus et notamment les criminels, les grands délinquants et les délinquants mineurs pour éviter que les prisons ne se transforment en écoles du crime.
295. Créer des centres spécialisés de détention pour les mineurs condamnés afin qu’ils puissent purger leur peine dans un établissement adapté.
296. Construire de nouvelles prisons car le manque de place ne doit plus servir d’alibi au laxisme judiciaire.
297. Organiser l’indemnisation publique des victimes car l’État leur est redevable de n’avoir pas su assurer leur sécurité.
298. Permettre aux justiciables d’obtenir l’exécution des décisions de justice par la mise en place de mesures contraignantes pour l’État.
Etat (n° 299 à 312)
Renforcer l’État souverain
299. Dégager l’État du secteur économique et de la société civile dans lesquels l’initiative privée se révèle mieux adaptée et plus performante.
300. Centrer l’État sur ses missions régaliennes que sont l’indépendance nationale, la sécurité intérieure et extérieure, la justice, la protection des Français et la défense de notre identité.
301. Accorder à l’État et à ses serviteurs autorité et prestige sans lesquels ils ne peuvent exercer les missions régaliennes qui sont les leurs.
302. Garantir l’indépendance de l’administration vis à vis des groupes de pression politiques, syndicaux, idéologiques, philosophiques ou religieux.
Réduire le poids de l’administration
303. Supprimer les structures administratives inutiles qui font double emploi ou qui assurent des tâches non essentielles, voire nuisibles.
304. Réduire de 20% le nombre des fonctionnaires en ne renouvelant qu’un départ à la retraite sur deux.
305. Redéployer les effectifs des agents publics au bénéfice des administrations prioritaires.
306. Valoriser le statut des fonctionnaires qui pourront être d’autant mieux rémunérés qu’ils seront moins nombreux.
307. Achever la privatisation du secteur public marchand car l’État n’a pas à produire des biens ou des services susceptibles d’être vendus sur un marché.
308. Maintenir un secteur public pour les activités stratégiques où l’État doit être le garant de l’intérêt général et de l’égalité entre citoyens, comme les transports, les communications, l’énergie ou l’armement.
309. Mettre en concurrence contrôlée les entreprises publiques de façon à améliorer leur productivité par une saine et loyale émulation avec le secteur privé.
310. Élaborer des chartes d’usagers des services publics imposant une qualité de service aux sociétés nationales et offrant des dédommagements aux usagers quand celle-ci n’est pas respectée.
311. Empêcher l’interruption des services publics en réglementant la grève dans ce secteur afin d’éviter toute perturbation pour les usagers.
312. Bloquer la prolifération des lois et des règlements en codifiant l’ensemble des textes et en limitant leur volume global.
Provinces (n° 313 à 330)
Pour des collectivités enracinées
313. Refuser l’Europe des régions voulue par les mondialistes pour détruire la nation.
314. Garantir l’unité de la nation et de la République, gage de la pérennité de la France.
315. Conforter le Français comme seule langue nationale et donc comme seule langue susceptible d’être enseignée de façon obligatoire sur le territoire national.
316. S’opposer à l’autonomie des régions qui, en démantelant le pouvoir législatif, compromettrait l’unité de la nation, la souveraineté du peuple et l’indivisibilité de la République.
317. Développer la décentralisation qui, dans le cadre de la nation et dans le respect de son unité, permet de rapprocher les décisions des citoyens.
318. Fortifier les identités provinciales qui contribuent à la richesse de notre pays.
319. Raviver nos traditions en encourageant les coutumes et particularités dans les pays ou les terroirs.
320. Valoriser les langues régionales porteuses de la diversité de l’identité nationale.
Pour des collectivités décentralisées
321. Maintenir les communes qui sont enracinées dans l’histoire et sont le mieux placées pour assurer les services de proximité.
322. Créer des pays se substituant dans les zones rurales aux structures de coopération intercommunale de nature technocratique et antidémocratique.
323. Créer des villes en regroupant les communes d’une même agglomération pour remplacer toutes les structures actuelles de coopération intercommunale.
324. Supprimer les départements et les régions dont la coexistence alourdit les structures territoriales et dont les frontières ne correspondent pas aux réalités historiques ou économiques de notre pays.
325. Instituer une quarantaine de provinces correspondant le plus possible aux héritages historiques et aux sentiments d’appartenance ressentis par nos compatriotes.
326. Pourvoir les pays, les villes et les provinces d’un statut de collectivité territoriale de plein exercice avec une assemblée et un exécutif élus au suffrage universel direct.
327. Remplacer les actuels impôts locaux par une fraction de la taxe nationale assise sur tous les revenus des résidents selon des taux votés par les collectivités concernées.
328. Assurer l’autonomie fiscale des collectivités pour responsabiliser leurs élus et éviter les gaspillages.
329. Doter chaque collectivité de compétences exclusives de telle sorte que chacune puisse agir souverainement dans son domaine de responsabilité sans dépendre des autres.
330. Supprimer les financements croisés entre collectivités en permettant à chacune d’elles de financer les projets relevant de sa compétence sans avoir recours à des subventions venues d’autres collectivités.
République (n° 331 à 366)
La liberté du peuple
331. Défendre la souveraineté du peuple, expression fondamentale de la démocratie et de la République.
332. Remettre en vigueur les principes de la République aujourd’hui menacés notamment par la montée du processus d’islamisation.
333. Inscrire explicitement le principe de la préférence nationale et européenne dans la constitution afin d’asseoir sans conteste la légitimité de cette notion essentielle à la pérennité de la nation.
334. Garantir aux nationaux le monopole du droit de vote afin que les Français gardent l’entière maîtrise des décisions qui les concernent tant au niveau local que national.
335. Élargir le champ d’application du référendum de façon que le peuple puisse se prononcer directement sur toutes les questions qui l’intéressent, telles l’immigration ou la peine de mort.
336. Instituer le référendum d’initiative populaire qui permet aux Français de provoquer, par une pétition, l’organisation d’un référendum sur une question de leur choix.
337. Centrer le Conseil constitutionnel sur ses missions premières en lui retirant le rôle de tribunal idéologique qu’il s’est octroyé par la censure systématique des lois votées par le Parlement. Dans tous les cas, le dernier mot doit revenir au peuple ou à ses représentants.
338. Renforcer la séparation des pouvoirs essentielle à la démocratie, en empêchant les juges de rendre les politiques inéligibles.
339. Donner sa pleine souveraineté au Parlement de façon que les représentants élus du peuple détiennent une réelle maîtrise de la législation applicable en France.
340. Instaurer le scrutin proportionnel pour éviter que des catégories entières de la population ne soient privées de représentation dans les assemblées politiques.
341. Rompre avec la pratique des commissions de « sages » issues des groupes de pression et totalement dépourvues de légitimité démocratique.
342. Rédiger un statut de l’élu local destiné à lui garantir les moyens et la protection nécessaires à l’accomplissement de sa tâche.
Les libertés publiques
343. Abroger les lois prétendument anti-discriminatoires qui instaurent en fait le communautarisme et brident les libertés.
344. Supprimer les pouvoirs exorbitants des lobbies anti-identitaires en leur retirant le droit d’ester en justice et en réservant les crédits publics aux seules associations politiquement et idéologiquement non engagées.
345. Favoriser par tous les moyens le pluralisme des opinions au sein des médias audiovisuels et des journaux de la presse écrite, afin de rompre avec la dictature de la pensée unique.
346. Élaborer un code de déontologie de la profession de journaliste comme il en existe pour les autres professions participant au fonctionnement des institutions, tels les avocats.
347. Renforcer les droits des personnes face au pouvoir médiatique pour les prémunir contre les abus de la presse, de la radio et de la télévision.
348. Rendre effective la liberté du travail en faisant respecter les lois en vigueur au bénéfice des employés non grévistes.
349. Garantir la liberté d’accès aux services publics en imposant aux salariés de déclarer à l’avance leur intention de faire grève afin de permettre à la direction d’organiser avec les non grévistes le service minimum indispensable.
Les libertés civiles
350. Établir des chartes des libertés garantissant les droits des Français dans leur vie quotidienne.
351. Permettre le libre choix de l’école par les parents car l’éducation est de la responsabilité des familles.
352. Réduire les réglementations qui étouffent les activités sportives et introduisent les tracasseries administratives là où elles n’ont pas leur place.
353. Renforcer la liberté pour les organisations de jeunesse car un contrôle exagéré de l’État en ce domaine relève d’une démarche totalitaire.
354. Assurer une plus grande liberté en matière de loisirs en garantissant notamment le libre accès à la nature dans le respect de celle-ci.
355. Mettre fin au harcèlement de l’État contre les automobilistes dès lors qu’il ne s’agit pas des actions – celles-là légitimes – contre les chauffards.
356. Accorder un droit d’exercice aux médecines naturelles par la mise en place d’un système d’évaluation et de diplômes.
357. Renforcer le secret de la correspondance en étendant la législation au développement du courrier électronique.
358. Maintenir la liberté de détention des armes de façon que les délinquants et criminels ne soient pas les seuls à en posséder.
359. Libéraliser la détention d’armes de défense pour permettre aux honnêtes citoyens d’assurer leur propre protection.
360. Garantir la liberté de chasse et de pêche qui correspond à une grande tradition populaire héritée de l’abolition des privilèges.
361. Respecter les coutumes et droits traditionnels en abolissant les réglementations qui les font disparaître.
Les libertés professionnelles
362. Réduire la réglementation des métiers car l’évolution d’une profession ne doit pas être bloquée par un carcan réglementaire trop strict.
363. Dynamiser les corps intermédiaires tels que les coopératives, mutuelles, chambres et ordres professionnels, qui permettent aux citoyens de prendre toute leur part dans la vie de la nation et d’être moins isolés face à l’État.
364. Assurer la liberté syndicale de façon que les salariés puissent créer librement des syndicats correspondant à leurs aspirations.
365. Ouvrir les élections professionnelles à toutes les candidatures en mettant fin au monopole syndical qui entrave la liberté des salariés.
366. Fonder la représentativité des syndicats sur des critères objectifs, comme par exemple les résultats aux élections professionnelles.
Economie (n° 367 à 402)
Le marché libre
367. Laisser faire la compétition intérieure afin de stimuler la créativité et l’efficacité des acteurs économiques.
368. Libérer, encourager et récompenser le travail qui, sous toutes ses formes, est le principal créateur de richesses.
369. Assurer la liberté d’initiative aux acteurs économiques en supprimant les carcans administratifs qui entravent leur action.
370. Réduire les dépenses publiques en centrant l’État sur ses fonctions régaliennes.
371. Diminuer les prélèvements obligatoires qui pénalisent les productions françaises, découragent l’embauche et réduisent la consommation.
372. Donner aux entreprises tous les leviers de leur gestion car elles sont mieux qualifiées que l’État pour prendre les décisions utiles à leur développement.
L’atout technologique
373. Fonder la croissance sur le développement technologique dans lequel la France excelle et qui constitue le meilleur atout de l’économie nationale.
374. Développer la recherche fondamentale en lui octroyant les crédits publics nécessaires.
375. Encourager la recherche au sein des entreprises en défiscalisant les crédits investis dans cette activité.
376. Orienter la recherche vers des objectifs stratégiques utiles à la prospérité et à la puissance nationale.
377. Libérer la recherche publique du carcan bureaucratique, réorganiser la recherche en structures plus petites et plus autonomes, ouvertes sur le monde économique.
378. Relever de grands défis technologiques susceptibles de provoquer un essor de l’économie tout entière, comme par exemple la fusion nucléaire contrôlée ou l’exploration humaine de Mars.
L’entreprise libérée
379. Réduire les charges fiscales et sociales des entreprises afin d’améliorer leur compétitivité et leur capacité d’embauche.
380. Simplifier le code du travail en mettant en place des procédures flexibles fondées sur la liberté et la responsabilité des différents partenaires.
381. Supprimer le principe du temps de travail hebdomadaire de 35 heures en instaurant un système souple permettant à ceux qui veulent travailler moins de le faire en gagnant moins et à ceux qui veulent gagner plus d’y parvenir en travaillant plus.
382. Rendre les marchés financiers plus attractifs pour inciter les Français à investir davantage dans les entreprises.
383. Faciliter la création et le développement des PME par des avantages fiscaux, réglementaires et financiers.
384. Favoriser la création de sociétés de capital risque afin que les créateurs d’entreprises puissent s’appuyer sur des investisseurs capables de leur donner une chance.
385. Encourager le capitalisme populaire susceptible d’apporter aux PME une nouvelle source de financement.
386. Protéger les PME contre les grands groupes afin d’éviter que ces derniers n’abusent du rapport de force pour les pressurer et les acculer à la faillite.
387. Combattre le travail clandestin pour mettre un terme à l’économie souterraine qui met en danger les entreprises saines et légales.
Le patriotisme économique
388. Dénoncer le dumping social, humanitaire, écologique et monétaire de certains pays qui, en faisant fabriquer à bas prix leurs produits sans respect des règles sociales, parfois en exploitant des enfants et en polluant sans vergogne, créent une concurrence sauvage et illégitime.
389. Réguler les échanges économiques internationaux afin de protéger les marchés français et européen de la concurrence sauvage.
390. Établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe pour assurer la poursuite des échanges commerciaux sans avoir à subir les effets pervers d’une concurrence déloyale.
391. Créer un statut d’entreprise privée nationale dont les actionnaires ne pourront être que majoritairement français ou européens afin de maintenir certaines activités sous le contrôle de la France et de l’Europe.
392. Instaurer, comme l’ont fait les États-Unis, un Comité sur les investissements étrangers auxquels seraient soumis tous les projets d’acquisition d’entreprise française par des sociétés étrangères extraeuropéenne afin de refuser ceux qui mettraient en cause les intérêts stratégiques de notre pays.
393. Adopter une législation contre la concurrence étrangère déloyale comparable à celle utilisée par les États-Unis sous l’appellation de « section 301 ».
394. Remettre en cause les accords de libre-échange conclus par l’Union européenne et incompatibles avec le principe de la préférence européenne.
395. Étendre la zone euro à l’ensemble de l’Union européenne et notamment à la Grande-Bretagne.
396. Faire de la monnaie européenne une devise capable de concurrencer le dollar comme instrument de réserve et de paiement international.
397. Doter l’Europe d’une politique monétaire souple et offensive au service de l’économie et de l’emploi des Européens.
L’offensive économique
398. Mettre en place dans chaque secteur économique un comité stratégique chargé de coordonner les entreprises et les différents services de l’État en vue de mener des actions économiques offensives au bénéfice de notre pays.
399. Organiser la reconquête du marché intérieur français et européen par l’application du principe de préférence et par l’amélioration de la compétitivité de nos entreprises.
400. Assurer l’expansion économique française à l’étranger en s’appuyant sur l’innovation technologique de la France, sur la compétitivité de ses entreprises et sur l’esprit de conquête de ses dirigeants.
401. Développer une stratégie nationale et européenne de regroupement des entreprises afin d’amplifier la puissance économique de notre pays et du Vieux Continent et d’éviter que nos sociétés ne soient rachetées par l’étranger.
402. Lancer un programme de grands travaux dans le domaine des infrastructures et de l’environnement.
Fiscalité (n° 403 à 422)
Réduire les charges et les impôts
403. Simplifier le système fiscal par la suppression de 500 taxes et impôts parmi ceux qui rapportent le moins au budget de l’État.
404. Abroger la redevance audiovisuelle aujourd’hui obsolète en raison de la diversification du système médiatique.
405. Réduire les droits de mutation au niveau qui est le leur dans la plupart des pays européens.
406. Diminuer les taux de l’impôt sur les sociétés pour alléger les prélèvements sur les entreprises.
407. Abroger l’ISF dont le rendement est très faible, qui pénalise une partie des classes moyennes et provoque l’exode des gens fortunés.
408. Abolir les droits de succession en ligne directe pour permettre aux parents de transmettre à leurs enfants l’intégralité de leur patrimoine.
409. Supprimer l’impôt sur le revenu et les quatre impôts locaux, aujourd’hui archaïques, injustes et complexes, et les remplacer par une taxe nationale.
Moderniser la fiscalité
410. Créer une taxe nationale à taux faible mais progressif, assise sur l’ensemble des revenus et prélevée à la source pour alimenter à la fois le budget de l’État et celui des collectivités locales.
411. Assurer l’autonomie fiscale des collectivités locales en leur permettant de voter librement un complément de la taxe nationale.
412. Instaurer une taxe sur le chiffre d’affaires des grandes surfaces afin de rétablir un minimum d’équilibre dans la concurrence avec le petit commerce par ailleurs indispensable à la qualité de la vie.
Réduire les dépenses publiques
413. Prévoir une loi organique interdisant à l’État d’emprunter pour financer des dépenses de fonctionnement.
414. Faire passer le taux des prélèvements obligatoires sous la barre des 40 % du PIB afin de libérer la société du poids de l’étatisme.
415. Bloquer tous les budgets en euros courants afin de créer une dynamique de baisse des crédits publics.
416. Réduire le poids de l’administration en limitant le nombre et l’importance de ses structures et en diminuant le nombre des collectivités locales.
417. Limiter les frais de fonctionnement de l’État en ne remplaçant pas tous les fonctionnaires qui partent à la retraite.
Multiplier les économies budgétaires
418. Diminuer les subventions aux entreprises et associations, car cette méthode coûte très cher à l’État sans apporter de réels avantages à l’économie ou à la population.
419. Abandonner les pseudo-aides à l’emploi inutiles et coûteuses.
420. Appliquer la préférence nationale pour les aides sociales, afin de réaliser, parallèlement à la lutte contre l’immigration, des économies considérables sur les budgets publics.
421. Supprimer la politique de la Ville qui engloutit chaque année des milliards sans pour autant atteindre ses objectifs.
422. Rompre avec le mythe de la redistribution sociale qui ne contribue pas à la justice sociale et alourdit fortement les dépenses publiques.
Agriculture (n° 423 à 454)
Reconstruire l’agriculture
423. Rompre avec la PAC qui accule les exploitants français à la faillite en alignant les prix des denrées agricoles sur les cours mondiaux.
424. Organiser l’autosuffisance alimentaire indispensable à l’indépendance de notre pays.
425. Instaurer la préférence communautaire agricole de façon à lutter contre la concurrence sauvage des agricultures étrangères.
426. Assurer aux productions agricoles une protection douanière saisonnière en fonction des périodes de récolte française.
427. Garantir des prix agricoles minimums pour permettre aux agriculteurs français de vivre du fruit de leur travail.
Libérer les paysans
428. Limiter les charges fiscales et sociales pesant sur l’agriculture de façon à rendre les exploitations plus viables.
429. Réformer la Mutualité sociale agricole afin de réduire les charges sociales supportées par les exploitants.
430. Abroger les monopoles sur les semences ou l’insémination qui placent les exploitants en situation de dépendance.
431. Réduire la bureaucratie agricole et alléger les structures professionnelles qui alourdissent le fonctionnement des exploitations.
432. Favoriser le pluralisme au sein du syndicalisme agricole afin de mieux refléter la diversité du monde paysan.
433. Relever les retraites agricoles pour que tout exploitant puisse jouir d’une retraite décente.
434. Proposer un moratoire des dettes pour les agriculteurs en difficulté afin de sauvegarder les exploitations.
Encourager le bien-manger
435. Promouvoir l’agriculture de terroir qui favorise la tradition et la qualité.
436. Privilégier les circuits locaux de distribution qui réduisent la chaîne de transport et permettent une meilleure traçabilité des produits.
437. Généraliser les labels et les appellations d’origine et les faire bénéficier d’une protection juridique comparable aux brevets afin de protéger et de valoriser les productions de qualité.
438. Favoriser les méthodes traditionnelles de fabrication qui participent de notre identité agricole et culinaire.
439. Encourager l’agriculture biologique qui doit être considérée comme une composante à part entière de l’agriculture française.
440. Interdire les produits potentiellement dangereux tant que leur innocuité n’aura pas été prouvée.
Développer les campagnes
441. Assurer la pérennité des exploitations agricoles en supprimant notamment les droits de succession sur les exploitations familiales.
442. Instaurer un statut de pluri-actif agricole de sorte que tout agriculteur puisse exercer parallèlement une seconde activité sans être pénalisé en matière de fiscalité, de retraite et d’assurance maladie.
443. Susciter la création d’emplois à la campagne par des mesures fiscales appropriées.
444. Développer le télé-travail et les réseaux informatiques en zone rurale pour permettre à de nombreuses activités tertiaires de s’implanter dans les campagnes.
445. Promouvoir les activités sociales et culturelles dans les villages afin d’y maintenir un cadre de vie harmonieux et enrichissant.
446. Garantir la présence des services publics dans les bourgs afin d’y faciliter le maintien de la population.
447. Veiller à la desserte des campagnes par la préservation ou le rétablissement d’un réseau de transports en commun.
Sauver la pêche
448. Préserver la pêche artisanale côtière par des mesures propres à en valoriser localement les produits.
449. Favoriser le maintien des usines de transformation du poisson près des lieux de débarquement tant pour l’hygiène alimentaire que pour la pérennité des activités côtières.
450. Créer un corps de garde-côtes chargé notamment de la surveillance des pêcheurs étrangers.
451. Renégocier les quotas de pêche qui asphyxient les professionnels de la pêche française.
452. Taxer les importations de produits de la mer qui concurrencent de façon déloyale la pêche française.
453. Moderniser les conventions sociales des marins pêcheurs afin de rendre plus attractifs les métiers de la mer.
454. Appliquer au pavillon français des règles sociales et fiscales plus favorables, comparables à celles en vigueur dans les autres pays européens.
Emploi (n° 455 à 473)
Protéger l’emploi des Français
455. Lutter contre la désindustrialisation de la France en s’efforçant de maîtriser la mondialisation par une régulation des échanges économiques internationaux.
456. Établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe pour assurer la loyauté de la concurrence et limiter les délocalisations.
457. Instaurer la préférence nationale et européenne à l’embauche pour que les postes disponibles servent prioritairement à l’emploi des Français et des Européens.
458. Revaloriser le travail manuel et plus particulièrement les emplois d’artisans, où le travail est important et la main‑d’œuvre rare.
459. Adapter la formation professionnelle aux besoins des employeurs par un développement très important des études professionnelles en alternance.
Augmenter l’offre de travail
460. Développer la compétitivité des entreprises et donc la création d’emplois par la désétatisation de l’économie, l’allégement des charges et la limitation des contraintes bureaucratiques.
461. Faciliter le développement de l’artisanat et des PME qui, contrairement aux grandes entreprises, disposent d’un potentiel important de recrutement.
462. Mener une stratégie d’expansion de l’économie française vers l’étranger fondée sur l’innovation technologique et la compétitivité des entreprises afin de multiplier les emplois pour les Français.
463. Reconquérir le marché intérieur, porteur d’emplois, grâce à une politique offensive de diversification de la production nationale rendue possible par la régulation des échanges et la baisse des charges.
Réduire la demande d’emploi
464. Instaurer le revenu parental permettant aux mères ou pères de famille de percevoir une rémunération pour se consacrer à plein temps à l’éducation de leurs enfants et donc de libérer un emploi susceptible d’être occupé par un chômeur français.
465. Organiser le retour dans leur pays d’origine des immigrés indésirables, ce qui permettra, indépendamment de la défense de notre identité, de réduire le nombre de chômeurs étrangers et de libérer des emplois pour les Français sans travail.
466. Supprimer le monopole de l’ANPE afin d’améliorer l’efficacité du placement des chômeurs.
467. Sanctionner les faux chômeurs en cessant de verser des allocations à ceux qui refusent trois fois de suite un emploi correspondant à leur profil.
Assurer la dignité des travailleurs
468. Instaurer une nouvelle participation en associant tous les salariés aux résultats de l’entreprise, quel que soit leur niveau dans la hiérarchie.
469. Associer le capital au travail par la distribution d’actions aux salariés.
470. Affirmer le rôle et la dignité des fonctionnaires en leur donnant les moyens d’exercer leur mission de service public.
471. Libérer le syndicalisme en mettant fin au monopole de représentativité syndicale.
472. Défendre la liberté du travail en organisant des votes à bulletin secret sous contrôle de justice pour le déclenchement et la fin des grèves.
473. Assurer la démocratie dans l’entreprise en ouvrant les élections professionnelles à tous les candidats, quelle que soit leur appartenance syndicale.
Fraternité (n° 474 à 497)
Pour la solidarité entre les Français
474. Attribuer les logements sociaux en priorité aux Français et aux Européens.
475. Offrir les aides sociales aux Français et aux Européens d’abord car les étrangers sans ressources ont vocation à retourner dans leur pays d’origine.
476. Instaurer la préférence nationale et européenne en matière d’emploi car la fraternité exige qu’à compétence égale, les emplois soient offerts prioritairement aux nationaux et aux membres de l’Union européenne.
477. Créer une allocation de fraternité nationale pour sortir les Français de la misère ou de la détresse en remplacement du RMI qui les y installe.
478. Mettre en place un service de fraternité française afin d’apporter une aide matérielle et morale à nos compatriotes en difficulté.
479. Encourager l’action caritative privée en instaurant un système de fondations et de dégrèvements fiscaux appropriés.
480. Arracher les SDF à leur condition par la création de centres d’adaptation et de réapprentissage à une vie normale.
481. Aider les personnes âgées frappées par l’impotence et la solitude en leur procurant un soutien moral et matériel leur permettant de choisir entre le maintien chez elles ou leur installation dans une maison de retraite.
482. Assister les personnes du quatrième âge pour humaniser leur fin de vie.
483. Permettre aux handicapés de mener une vie normale en facilitant leur accès à un emploi et à toutes les activités de la vie courante.
484. Soutenir les familles ayant la charge d’un handicapé en renforçant les aides et les structures dont elles ont besoin.
Pour vivre de son métier
485. Réévaluer le SMIC afin que tout travailleur puisse vivre dignement de son travail sans tomber dans l’assistanat.
486. Lutter contre la baisse des petits salaires en les protégeant de la concurrence déloyale exercée par la main-d’œuvre étrangère bon marché.
487. Réduire la précarité de l’emploi en réformant le code du travail afin de rendre les emplois stables plus attractifs pour les employeurs.
488. Réprimer le travail clandestin en poursuivant et sanctionnant systématiquement les employeurs qui recourent à ce type de main-d’œuvre.
489. Ajuster l’échelle des rémunérations en fonction du mérite, du travail et de l’utilité sociale.
490. Valoriser le travail manuel en lui rendant tout son prestige et en créant une véritable aristocratie des métiers.
491. Équilibrer la concurrence entre le grand et le petit commerce en créant une taxe sur le chiffre d’affaires des grandes surfaces.
492. Sanctionner l’affairisme qui fausse le libre jeu du marché et spolie les Français.
Pour la propriété populaire
493. Favoriser l’accession à la propriété des Français logés en HLM par l’octroi d’un prêt d’État dont les mensualités de remboursement seront à peine supérieures au loyer en vigueur.
494. Créer le prêt familial au logement doté d’un taux d’intérêt bonifié afin de favoriser l’acquisition d’un appartement ou d’une maison par les familles françaises.
495. Supprimer les impôts sur les successions en ligne directe car il est injuste que les parents ne soient pas en mesure de transmettre intégralement à leurs enfants le fruit d’une vie de travail.
496. Encourager l’épargne populaire en mettant en œuvre des incitations et des mécanismes bancaires appropriés.
497. Lutter contre le surendettement des ménages en responsabilisant les futurs prêteurs et emprunteurs tout en renforçant les mécanismes de résorption du surendettement passé.
Protection sociale (n° 498 à 517)
Sauver la sécurité sociale
498. Imputer les dépenses de solidarité nationale sur le budget de l’État car il est injuste que celles-ci reposent sur les cotisations salariales et patronales alors qu’elles intéressent la nation tout entière.
499. Limiter le champ de la sécurité sociale à la prévoyance et à l’assurance afin de la refonder sur des mécanismes sains débouchant sur l’équilibre financier.
500. Assurer l’équilibre des comptes sociaux relatifs aux étrangers de façon que le déficit qu’ils provoquent actuellement cesse de peser sur les Français.
501. Retirer la gestion des caisses de sécurité sociale aux partenaires sociaux pour la confier sous le contrôle de l’État à des organismes indépendants.
502. Instaurer la concurrence régulée au sein du système de sécurité sociale entre les caisses étatiques et des opérateurs privés afin de réduire les coûts au minimum.
503. Établir une carte de sécurité sociale infalsifiable de façon à éviter que de faux ayants droit ne bénéficient frauduleusement des avantages de la sécurité sociale française.
Assurer la pérennité des retraites
504. Développer la natalité par une politique familiale audacieuse propre à assurer le renouvellement des générations.
505. Offrir aux Français la possibilité de choisir l’âge de leur départ à la retraite en calculant le montant des cotisations et de la pension en conséquence.
506. Fondre les différents régimes de retraite en un système unifié en vue d’une plus grande équité entre catégories socio-professionnelles, notamment entre salariés et travailleurs indépendants et entre secteurs public et privé.
507. Maintenir le système de retraite par répartition comme socle de la protection sociale.
508. Instaurer un système de retraite par capitalisation permettant aux cotisants de se constituer un capital qu’ils pourront percevoir sous forme de rente viagère à leur retraite, quel que soit le déséquilibre démographique.
509. Permettre aux cotisants de choisir entre les deux systèmes de retraite dans une limite définie par l’État en fonction de l’évolution de la natalité française.
510. Faire contrôler les organismes de capitalisation par l’État pour assurer la pérennité, la fiabilité et la sûreté du système.
511. Fixer la pension de reversion à 100 p. cent de la retraite du conjoint pour ne pas spolier le survivant des fruits du travail de son époux ou épouse.
Assainir l’assurance maladie
512. Instaurer une assurance maladie minimum obligatoire ne couvrant que les risques de maladies graves et permettant de mettre chacun à moindre coût à l’abri des aléas de l’existence.
513. Proposer des formules d’assurance maladie complémentaire permettant à chacun de choisir son degré de couverture et donc son niveau de cotisation.
514. Offrir aux cotisants la possibilité de choisir le gestionnaire de leur assurance maladie, à savoir la caisse nationale existante ou des compagnies privées mises en concurrence avec la première.
515. Conserver le principe des cotisations maladie calculées en fonction du revenu tout en instaurant une saine concurrence entre opérateurs de façon à bénéficier à la fois de la baisse des coûts et du maintien de l’impératif social.
516. Faire contrôler et garantir par l’État les opérateurs privés d’assurance maladie pour pallier toute défaillance éventuelle et éviter la sélection des assurés.
517. Soumettre les innombrables régimes actuels aux mêmes règles pour tous les Français afin d’établir un système unique à la fois plus clair et plus équitable.
Santé (n° 518 à 541)
Rétablir la médecine générale
518. Maintenir le libre choix des praticiens par les patients sans lequel il n’y a plus de médecine libérale.
519. Garantir la liberté de prescription et le secret médical, exigences indispensables au respect des règles éthiques.
340. Maintenir le paiement à l’acte des médecins car il contribue à la responsabilisation des praticiens comme des patients.
521. Confirmer le principe de l’excellence pour les études médicales, seul garant d’une médecine de qualité.
522. Adapter le nombre des médecins français à l’importance de la population pour assurer aux malades un service de qualité et garantir aux médecins le niveau de revenu auquel ils ont droit.
523. Renforcer les règles éthiques dans l’exercice de la médecine, notamment au regard de l’évolution de la biotechnologie et face à la banalisation de l’euthanasie.
524. Refuser l’exercice de la médecine aux étrangers n’ayant pas de diplôme français ou assimilé car on ne peut exposer les malades français au danger que représente une éventuelle incompétence.
Reconstruire des hôpitaux de qualité
525. Assainir la gestion du secteur hospitalier par une plus grande autonomie des établissements et la responsabilisation de leurs dirigeants, lesquels doivent être systématiquement des médecins.
526. Mettre fin au budget global des hôpitaux qui relève d’une conception collectiviste de la médecine publique.
527. Transformer la moitié des lits excédentaires en lits de long séjour pour les malades très âgés.
528. Instaurer la pratique du mi-temps pour les chefs de service hospitalier afin de conserver à l’hôpital des médecins de qualité.
529. Rétablir les concours pour l’accès aux fonctions hospitalières et pour la formation des spécialistes afin de garantir l’excellence de la médecine française.
530. N’engager dans les hôpitaux que des médecins français ou des praticiens européens maîtrisant parfaitement la langue française.
531. Valoriser la profession d’infirmière tant au plan des rémunérations que des conditions de travail.
532. Développer l’hospitalisation à domicile qui est à la fois moins coûteuse et plus humaine.
533. Améliorer les services d’accueil des malades âgés dont le nombre est appelé à croître avec le vieillissement de la population.
Lancer une vraie politique sanitaire
534. Renforcer la prévention sanitaire par des actions adaptées, pathologie par pathologie, et un suivi plus systématique de la population.
535. Lutter contre le tabagisme et l’alcoolisme par des actions d’information et de dissuasion.
536. Combattre la toxicomanie par l’information et la répression ainsi que par des désintoxications obligatoires telles que les pratiquent avec succès certains grands pays.
537. Maîtriser l’épidémie du sida en développant le dépistage et la recherche.
538. Établir un contrôle sanitaire aux frontières afin de limiter l’accroissement des risques épidémiologiques liés à la mondialisation.
539. Encourager la recherche médicale en lui consacrant plus de moyens.
540. Favoriser l’industrie pharmaceutique française, notamment par une plus grande liberté dans la fixation des prix des médicaments.
541. Créer un environnement favorable à la santé des Français, en veillant à la qualité de l’alimentation et en favorisant toutes les activités, tel le thermalisme utile au bien-être de nos concitoyens.
Famille (n° 542 à 562)
Priorité à la cellule familiale
542. Affirmer la responsabilité des parents pour l’éducation des enfants car les choix éducatifs relèvent au premier chef de la famille et non de l’État.
543. Encourager et protéger le mariage, institution garante de la pérennité et de la légitimité de la famille.
544. Refuser le mariage homosexuel et l’adoption des enfants par les couples gays.
545. Promouvoir l’image de la famille, notamment dans les médias, car la cellule familiale doit être respectée comme une institution essentielle à notre civilisation.
Soutien à la natalité française
546. Créer un revenu parental pour les mères (ou pères) qui souhaitent se consacrer à plein temps à l’éducation de leurs enfants.
547. Augmenter les allocations familiales pour que les Français qui ont des enfants n’aient pas un niveau de vie inférieur à ceux qui n’en ont pas.
548. Lancer le prêt familial au logement permettant aux familles qui souhaitent acquérir leur maison ou leur appartement d’obtenir un crédit total avec un différé d’amortissement de trois ans et des intérêts pris en charge par l’État à l’occasion de chaque naissance.
549. Instaurer pour les familles la clause du statut le plus favorisé garantissant aux couples mariés les avantages fiscaux et sociaux les plus favorables auxquels pourraient avoir accès ceux qui vivent en concubinage.
550. Supprimer l’impôt sur les successions en ligne directe pour favoriser la constitution et la préservation des patrimoines familiaux.
Un statut pour les mères de famille
551. Offrir aux mères de famille un véritable choix leur permettant de ne pas travailler pour se consacrer à leurs enfants ou au contraire de poursuivre une activité professionnelle tout en élevant leurs enfants.
552. Doter les mères de famille d’un statut leur garantissant l’assurance maladie et la retraite.
553. Faciliter aux mères de famille l’exercice d’une profession grâce à l’aménagement des horaires et des dates de congé ainsi que par la création de crèches à proximité des lieux de travail.
554. Aider au développement du travail à temps partiel et du télé-travail qui permettent aux mères de famille de concilier leurs exigences professionnelles et familiales.
555. Ouvrir des crédits formation pour les mères qui souhaitent reprendre une activité professionnelle après l’avoir abandonnée pour raison familiale.
556. Aider les familles monoparentales en étendant à leur profit les avantages dévolus aux familles traditionnelles.
557. Soutenir les veuves et les veufs en leur accordant 100 p. cent de la retraite antérieurement versée à leur conjoint.
Le respect pour la vie et les enfants
558. Inscrire dans la constitution le principe du respect de la vie, principe relevant du domaine du sacré.
559. Développer des foyers maternels pour favoriser l’accueil de la vie par une aide morale et matérielle aux mères célibataires.
560. Instaurer l’adoption prénatale comme solution alternative à l’avortement.
561. Faciliter les procédures d’adoption des enfants français afin de mieux répondre aux familles qui souhaitent adopter.
562. Protéger les enfants de la drogue, de la pornographie et de la pédophilie en renforçant la réglementation et la répression contre ceux qui portent atteinte aux mineurs.